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Maître Péronilla (Offenbach) – Vélasquez junior

Théâtre des Champs-Elysées, 2019

« Patrick Kabongo et Loïc Félix, déjà complices dans Barkouf du même Offenbach à Strasbourg, offrent une paire de jumeaux drôlatiques et dont les timbres clairs et corsés sont assortis. » Damien Dutilleul – Olyrix

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« Last but not least, saluons Patrick Kabongo (Vélasquez major) et Loïc Félix (Vélasquez junior), peintres en bâtiment et … descendants en droite ligne de l’auteur des Ménines. Leur duo vaut sa double ration de tapas ! » Alain Cochard – Concertclassic

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« Une distribution de rêve, soignée jusque dans les plus petits rôles, savoureux frères Vélasquezinterprétés par Patrick Kabongo et Loïc Félix » Sophie Bourdais – Télérama

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« Nur Komplimente für die perfekt singenden Komprimari Patrick Kabongo (Vélasquez major), Loïc Félix (Vélasquez junior) » Waldemar Kamer – Online Merker

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« Relevons les désopilants Patrick Kabongo et Loïc Félix, Vélasquez avides de parapher » Emmanuelle Pesqué – ODB

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« La trop brève intervention de Patrick Kabongo et de Loïc Félix dans le « Duo des frères Vélasquez » est à la fois désopilante et particulièrement bien réalisée » Apolline Gouzi – Bachtrack

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Turandot – Pang

Opéra de Marseille, 2019

« Le Pang de Loïc Félix se distingue du Pong de Marc Larcher par l’éclat mordant d’un ténor bien mieux que de caractère. » Mehdi Mahdavi

 

 

Barkouf (Offenbach) – Kaliboul

Opéra National du Rhin, 2018

« Offenbach a voulu quatre ténors, qui sont ici bien caractérisés : […] Loïc Félix, enfin, moins gâté par la partition mais doté d’un personnage haut en couleurs. » Laurent Bury – Forum Opéra

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« Son complice Kaliboul est servi par l’aisance théâtrale, le pouvoir comique et la diction de Loïc Félix dont la voix bien projetée est légèrement corsée. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

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« Loïc Félix donne un fort relief tant scénique que vocal à l’eunuque Kaliboul » Michel Thomé – ResMusica

 

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Werther – Schmidt

Opéra National du Rhin, 2018

« Loïc Félix (Schmidt) et Jean-Gabriel Saint-Martin (Johann) forment un assez impayable duo (…) » Alain Cochard – Concertclassic.com

« Les voix du baryton Jean-Gabriel Saint-Martin, Johann, et du ténor Loïc Félix, Schmidt, s’échauffent au premier acte avant de gagner en intensité et de s’implanter solidement lorsqu’ils consolent Brühlman » Céline Wadouw – Ôlyrix

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Le Baron Tzigane – Ottokar

Grand Théâtre de Genève, 2017

« Son amant est incarné par Loïc Félix dont le timbre lumineux se met au service d’une diction soignée. Très énergique, il forme un excellent couard maladroit et amoureux. » Damien Dutilleul – Ôlyrix

 

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Fantasio (Offenbach) – Marinoni

Grand Théâtre de Genève, 2017

« Son binôme Marinoni, interprété par le toujours sémillant Loïc Félix, ne lui cède en rien en termes de cocasserie décalée, pas plus qu’en termes d’intelligibilité. » Emmanuel Andrieu – Opera Online

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« Pour compléter le plateau de solistes, on retiendra (…) Loïc Félix qui incarne un Marinoni efficacement comique dans le rôle de l’aide de camp faisant office de prince… » Thomas Muller – Bachtrack

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« Loïc Félix (un Marinoni plein d’entrain et de cocasserie). » Rocco Zacheo – Tribune de Genève

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« Comme à Paris, Loïc Félix séduit en aide de camp truculent, au caleçon à pois. » Claudio Poloni – Concerto.net

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« Einzig beim Prinzen von Mantua und seinem Adjutanten Marinoni war Offenbach voll auf seiner Höhe. Das inspirierte auch Jolly, dem in Genf mit dem Bariton Pierre Doyen als Prinz und dem Tenor Loïc Félix die richtigen Komödianten-Sänger zur Verfügung stehen. Da fühlt man sich an die großen Solo-Momente in der Schönen Helena oder in der Großherzogin erinnert, da packt Offenbachs satirischer Biss gegen die Aristokratie und Kriegstreiber voll zu. Jolly ließ die beiden auf leerer Bühne gewähren und ihr Spiel « tollpatschiger Herr gegen aufgeweckten Untergebenen » treiben. Die schönsten Momente der Aufführung! »

(Offenbach était à son apogée avec le prince de Mantoue et son adjudant Marinoni. Cela a également inspiré Jolly, qui a à sa disposition à Genève les parfaits comédiens-chanteurs avec le baryton Pierre Doyen en prince, et le ténor Loïc Félix. On pense aux grands solos de la La Belle Hélène ou de la Grande Duchesse, car on retrouve le mordant satirique d’Offenbach contre l’aristocratie et les bellicistes. Jolly laisse les deux chanteurs sur une scène vide à jouer au jeu du « maître maladroit contre les brillants subalternes » . Les plus beaux moments de la représentation !)  Laszlo Molnar  – KlassikInfo.de

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« Dabei übertreffen sich die Protagonisten Pierre Doyen (Prinz von Mantua), Loic Félix (sein Adjutant Marinoni), Melody Louledjian (Prinzessin Elsbeth) und Heloise Mas (ihre Kammerzofe Flamel) in ihren komödiantischen, dem Sprachwitz abgelauschten Kapriolen. »

(Les protagonistes Pierre Doyen (Prince de Mantoue), Loïc Félix (son aide de camp Marinoni), Melody Louledjian (Princesse Elsbeth) et Héloïse Mas (sa femme de chambre Flamel) se surpassent dans la comédie, et dans les cabrioles avec les jeux de mots inspirés.)  Lotte Thaler – Neue Bürcher Zeitung

 

Opéra Comique, 2017

« Il fonctionne en duo avec Marinoni, son aide de camp, qui prend la voix du ténor Loïc Félix, démontrant lui aussi ses talents de comédien. Son aria est interprétée d’une voix brillante et puissante. â€¨» Damien Dutilleul – Ôlyrix

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« Loïc Felix dont le timbre clair ne manque pas de charme excelle dans le rôle de l’aide de camp reconverti en prince. â€¨»  Christian Peter – Forum Opera

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« Ce double travestissement introduit des ressorts poétiques dans le cas de Fantasio, éminemment comiques dans celui des deux Italiens, incarnés avec tout ce qu’il faut de truculence, de malice et d’autodérision par Jean-Sébastien Bou et Loïc Félix. â€¨» Sophie Bourdais – Télérama

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« Il est vrai qu’il est plus facile de conquérir le cœur du public en assurant le seul duo comique avec son fidèle aide de camp Marinoni, interprété par Loïc Félix. En échangeant leur costume pour connaître les élans amoureux d’Elsbeth, tout en continuant d’agir selon leur positionnement initial respectif, les situations pittoresques dans lesquelles les deux compères s’engouffrent, permettent d’apprécier un jeu pleinement assumé à travers des voix puissantes et lumineuses toujours au service du texte. â€¨» Charlotte Saulneron-Saadou – Resmusica

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« Le ténor guyanais Loïc Félix fait des merveilles. Une vraie découverte. â€¨» Stéphane Capron – SceneWeb

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Festival de Radio France, 2015 

« Marinoni est incarné par Loïc Félix, ténor agile dans tous les registres, avec force et légèreté, délicatesse aussi. » Yvan Beuvard, Forumopera

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« le ténor Loïc Félix entonnant « reprenez cet habit mon prince » se taille un succès largement mérité. » Caroline Alexander, Webtheatre

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« Jean-Sébastien Bou et Loïc Félix sont exemplaires dans les rôles du prétendant et de son majordome, qui échangent leurs habits, comme dans la Cenerentola de Rossini, et ajoutent ainsi à la confusion. Nul doute qu’ils auraient été désopilants en version scénique. » Catherine Scholler, ResMusica

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La Favorite – Don Gaspar

Opéra de Marseille, 2017

« Dans les rôles respectifs d’Inès, la suivante de Léonore, et de Gaspar, le confident du Roi, Jennifer Michel et Loïc Félix sont des seconds rôles de grand luxe et le succès qu’ils recueillent aux saluts n’est que la juste récompense de la qualité de leurs interventions, caractérisées par la netteté de leur timbre et leur impeccable projection. » Maurice Salles – Forum Opéra

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« L’autre confident à la voix claire est le Don Gaspar du ténor Loïc Félix (…) Sa diction, impeccable, confère un poli brillant au léger métal de ses aigus. » Florence Lethurgez – Ôlyrix 

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« Enfin Loïc Félix est un Gaspard (le méchant) extrêmement convaincant. Muni d’un beau ténor bien campé il fait mieux que compléter cette distribution sans faux pas. » Patrick de Maria – La Marseillaise

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« Loïc Félix fut un excellent Gaspard. » Michel Egea – Destimed

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« Le ténor Loïc Félix tient parfaitement le rôle de Gaspard sans faire courir de risque à cette exceptionnelle cordée vocale masculine. » Jean-Luc Vannier – Musicologie.org

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L’enlèvement au sérail – Pedrillo

Philharmonie de Paris, 2017

« Sonore, impliqué et drôle, son jeu aussi rythmé que son chant, Loïc Felix vole la vedette dans son incarnation exultante de Pedrillo, qui parvient à récupérer sa promise Blondine et à rendre Constance à Belmonte, notamment en droguant le vin d’un puissant narcotique pour déjouer la vigilance du Gardien. Il secoue alors la bouteille telle une maracas ou le shaker d’un barman : réjouissant ! » Charles Arden – Ôlyrix

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Lakmé – Hadji

Opéra de Marseille, 2017

« Loïc Félix aussi donne à Hadji une résonance qui dépasse l’exigüité du rôle chanté, avec la maîtrise et la musicalité qu’on lui connaît. » Maurice Salles – Forum Opéra 

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« Loïc Félix donne à Hadji une qualité permanente de présence, sincère et attentive. Le duo qu’il forme avec Mallika semble donner à Lakmé un modèle qui lui permet d’accueillir l’amour humain. Remarqué dernièrement à Toulon en facétieux Pedrillo de L’Enlèvement au Sérail, il a un jeu d’acteur plus sobre ici, qui permet d’apprécier la qualité lumineuse, doucement puissante de son timbre, sa manière d’envelopper par la caresse de son phrasé sa maîtresse, qu’il aime de manière désintéressée. » Florence Lethurgez – Ôlyrix

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« Loïc Félix offre un très joli arioso au deuxième acte, plein de tendresse et de sollicitude amoureuse. » Patrick De Maria – La Marseillaise

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« Une mention pour Loïc Félix, Hadji musical, bien chantant. » Christian Colombeau – Le Podcast Journal

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« Qualité, aussi, pour le Hadji de Loïc Félix, chez les hommes.  » Michel Igea – Destimed

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« Tous les chanteurs s’expriment dans un français articulé dont on ne perd pas une miette ; les voix sont agréables, parfois même davantage, tel le Hadji du ténor Loïc Félix »  Christian Dalzon – ConcertoNet

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Opéra Grand-Avignon, 2016

« [Elle] respecte toutes les règles du style français, cet art de la finesse et de la délicatesse, qualités que l’on retrouve chez tous les comprimari […], à l’instar de Loïc Félix en Hadji » Emmanuel Andrieu – Opéra Online

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« Loïc Félix, excellent Hadji. » Michel Egea – Destimed

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«Loïc Félix, voix souple et timbre clair, convainc parfaitement en Hadji loyal et empressé, peut-être secrètement amoureux de Lakmé. » Fabrice Malkani – Forum Opéra

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Opéra de Toulon, 2014

« Loïc Félix est un luxe en Hadji, par la souplesse et la délicatesse vocale qui lui sont propres. » Maurice Salles, Forumopera

 

Opéra de Montpellier, 2012

« La bonne surprise est le ténor Loïc Félix, qui cisèle un touchant serviteur. » Eric Loret, Libération

 

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Orphée aux Enfers – Aristée / Pluton

Folies d’O, Montpellier, 2016

« On lui associera Loïc Félix, dont les qualités identiques font de son Aristée/Pluton un régal de tous les instants, aussi bien vocalement que scéniquement, tant son interprétation est fouillée dans les moindres détails. » Maurice Salles – Forum Opéra

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Opéra de Marseille, 2013

« Mention très bien à Loïc Félix, dont l’Aristée/Pluton vocalise à ravir, et dont la présence physique ajoute du piment à la comédie. » Maurice Salles, Forumopera

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« Il en va de même pour Loïc Félix, Pluton diablement sexy, tant vocalement que scéniquement » Olivier Rouvière, Concertclassic

 

« Loïc Félix, après avoir chanté Aristée  avec charme et voix de fausset, campe un Pluton qui s’impose par son style et son allure. Très à l’aise dans les rôles de composition, il se fait remarquer aussi bien par son jeu que par sa voix. » Jocelyne de Nicola, GB Opera

 

Opéra de Liège, 2007

« Loïc Félix, remarquable tant par son jeu que par sa voix et sa diction (la meilleure de la distribution), vole quelque peu la vedette » Daria Moudrolioubova, Opéra Magazine

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Carmen – Remendado

Glyndebourne Festival, 2015

« Loïc Félix and Christophe Gay were outstanding as the smugglers. » Opera Notes

 

« [Stephanie D’Oustrac] is joined by her compatriots Christophe Gay and Loïc Félix as a vibrant pair of smugglers, and whenever the three of them are onstage energy levels tingle » Mark Valencia, What’s on stage

 

 

Tosca – Spoleta 

Opéra de Marseille, 2015

« la partie de Spoletta étant luxueusement confiée au très musical Loïc Félix dont flamboie l’aigu. » Bertrand Bolognesi, Anaclase

 

« Loïc Felix porte un Spoletta clair et servile à souhait. » Gilles Charlassier, ConcertoNet

 

« Loïc Félix un Spoletta qui fait froid dans le dos » Emmanuel Andrieu, Opera Online

 

 

Barbe-Bleue – Prince Saphir 

Angers-Nantes Opéra, 2014

« Exemplaires encore, le prince Saphir de Loïc Félix » Vincent Deloge, ResMusica

 

« Loïc Félix ne faillit pas à sa réputation avec un Saphir de lumineuse vaillance » Gilles Charlassier, ConcertoNet

 

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L’Amour des Trois Oranges – Truffaldino

Maggio Musicale Fiorentino, 2014

« lo strabiliante Truffaldino di Loïc Félix, prestante negli acuti tenorili come nelle capriole » Elisabetta Torselli, Il Giornale della Musica

 

« brillante Trouffaldino di Loïc Félix » Roberta Pedrotti, L’Ape Musicale

 

« Divertenti con gusto e senza eccessi Loïc Félix come Trouffaldino (…) » Fabrizio Moschini, Operaclick

 

« Loïc Félix un Trouffaldino che dà prova della propria agilità, non solo vocale, entrando in scena con un numero da acrobata. » Gaja Hubbard, GB Opera

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Dialogues des Carmélites – L’Aumônier

Opéra de Lyon, 2013

« l’Aumônier de Loïc Félix, voix naturelle, diction limpide et belle aura de tendre prédicateur » Yannick Millon, Altamusica

 

« Loïc Félix campe avec beaucoup de délicatesse un aumônier plus présent et plus jeune qu’à l’accoutumée. » Laurent Bury, Forumopera

 

« Loïc Félix compose un Aumônier percutant » Emmanuel Andrieu, ConcertoNet

 

 

Hyppolite et Aricie – Tisiphone 

Festival de Glyndebourne, 2013

« Notre ténor guyanais, Loïc Félix, prête sa belle voix, souple, ronde à Tisiphone, au début de l’acte 2, lorsque la furie entraîne Thésée aux enfers. Mais son intervention, seule ou en duo contrasté avec le héros « Rien n’apaise ma fureur », force l’admiration. » Yvant Beuvard, Forum Opéra

 

 

Zauberflöte – Monostatos

Valencia, Palau de les Arts Reina Sofía, 2013

« Monostatos was good as played by Loïc Félix » José M. Irurzun, Seen and Heard International

 

 

Favorite – Gaspar

Théâtre des Champs-Elysées, 2013

« Loïc Félix est un Gaspar plein d’allant. » Philippe Thanh, La Lettre du Musicien

 

« Les seconds rôles, Loïc Félix et Judith Gauthier, sont irréprochables. » Catherine Scholler, ResMusica

 

« excellent Gaspar de Loïc Félix » Chantal Cazaux, L’Avant-Scène Opéra

 

 

Les Aventures du Roi Pausole – Giglio

Grand Théâtre de Genève, 2012

« Côté masculin, on saluera surtout Loïc Félix (Giglio), qui chante avec naturel et joue la désinvolture avec succès. » Christian Wasselin, Opéra Magazine

 

« le Giglio au timbre cuivré de Loïc Félix. » Thierry Raboud, ResMusica

 

« L’autre conseiller du roi est le page Giglio, que joue et chante de manière excellente le ténor Loïc Félix, doté d’une voix puissante au timbre limpide et d’une diction claire, avec le bagout et la prestance requis. Vocalement, c’est lui qui domine, incontestablement, cette distribution. » Fabrice Malkani, Forumopera

 

« Le ténor Loïc Félix fait forte impression, aussi bon chanteur que comédien. » Claudio Poloni, ConcertoNet

 

« Le ténor français Loïc Félix, au timbre clair et bien projeté, à la ligne élégante, incarne un bondissant et survolté Giglio. » Emmanuel Andrieu, Classiqueinfo

 

 

Le Nozze di Figaro – Basilio

Montpellier, 2012

« L’impeccable Loïc Félix n’est pas en reste en Basilio » Patrice Henriot, Opéra Magazine

 

« Remarquable aussi le Basilio de Loïc Félix » Maurice Salles, Forumopera

 

Opéra du Rhin, 2008

« Impeccable également le Basilio de Loïc Félix, remarquable ténor au très beau timbre et au chant particulièrement soigné malgré un rôle comique qui pourrait amener à malmener la ligne. Ici, que d’élégance et de charme ! » Pierre-Emmanuel Lephay, Forum Opéra

 

 

La Périchole – Piquillo

Limoges, 2012

« Loïc Félix est un Piquillo de belle allure, faisant montre d’une grande aisance scénique, excellent danseur – et quel joli timbre ! Tous deux (avec Carine Séchaye) forment un couple explosif, et pleinement crédible. » Catherine Scholler, Opéra Magazine

 

« Loïc Félix lui aussi fait plaisir à voir et à entendre ; jolie voix de ténor claire, aigu facile, lui aussi parfaite diction et qui plus est le comédien arrive même à faire passer pas son enthousiasme, ce qui n’est pas un mince mérite, les côtés « benêt » du rôle de Piquillo. » Didier Roumilhac, Opérette Théâtre Musical.

 

« Loïc Félix est un Piquillo convaincant, de magnifique tenue et plein de noblesse sur le plan vocal. Superbe d’autorité et de prestance, il mérite amplement les ovations que le public lui a réservées à l’issue de cette représentation. » Jean-François Julien, Le Populaire de Centre.

 

 

Turandot – Truffaldino 

Dijon, 2011

«  Signalons encore le défilé et la mobilité du virevoltant Truffaldino-Monostatos de Loïc Félix » François Lehel, Opéra Magazine

 

« Loïc Felix, excellent » Joelle Farenc, ResMusica

 

« présence hilarante et bien chantante de Loïc Félix (Truffaldino) » Michel Parouty, Diapason

 

« Et Loïc Félix (Truffaldino) a une fort belle et puissante voix de trial qui doit faire merveille également dans beaucoup d’autres rôles (par exemple le caissier des Brigands que l’on va revoir prochainement avec lui à Paris) ». Jean-Marcel Humbert, Forum Opéra

 

 

Les Brigands – Le Caissier

Opéra Comique, 2011

« le délicieusement extravagant caissier de Loïc Félix. » Caroline Alexander, WebThéâtre

 

 

Les Mamelles de Tirésias – Lacouf 

Opéra de Lyon, 2010

« Christophe Gay et Loïc Félix, vêtus en jumeaux, incarnent avec brio Presto et Lacouf » Bruno Villien, Opéra Magazine

 

« Impeccables et impayables Presto et Lacouf de Christophe Gay et Loïc Felix » Didier van Moere, ConcertoNet

 

 

Maria di Rohan – Armando di Gondi

Opera Rara (Londres), 2011

« Loïc Félix tire son épingle du jeu, une fois encore, parvenant à exister au sein d’un rôle pourtant peu flatteur. » Philippe Ponthir, Forum Opéra

 

 

Ermione – Attalo

Opera Rara (Londres), 2010

« Loïc Félix (Attalo) retrouve l’écurie Rara, une nouvelle fois, le jeune ténor expose de beaux moyens, intelligemment conduits. Il semble évident qu’Opera Rara peut désormais confier  à son poulain des emplois plus ambitieux. » Philippe Ponthir, Forum Opéra

 

 

Vert-Vert – Chevalier de Bergerac

Opera Rara (Londres), 2010

« Enorme coup de cœur qu’est Loïc Félix (Le Chevalier de Bergerac) dont les moyens colorés et intelligents, mériteraient autres véhicule et reconnaissance. » Philippe Ponthir, Forum Opéra

 

 

Il Turco in Italia – Albazar

Opéra de Marseille, 2004

« Une fois n’est pas coutume, c’est un « petit » rôle que nous mettrons en avant : Albazar qui nous a donné l’occasion de découvrir la voix et le jeu remarquable de Loïc Félix. Beaucoup de classe, de précision et de puissance chez ce jeune artiste. Nous l’entendrons à nouveau plus longuement avec grand plaisir. Un Triomphe pour lui. » Michel Egea, La Provence.

 

« Une mélodie lyrique et suave interprétée avec une impeccable technique de bel-cantiste et avec une réelle séduction par le ténor Loïc Félix (Albazar). » Simone Serret, La Marseillaise.

 

« Quant au jeune ténor Guyanais Loïc Félix (Albazar), son « Ah ! sarebbe troppo dolce » très habilement projeté éclipse à lui seul toutes les interventions du chétif Narciso » Cyril Mazin, Opéra International.

 

 

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